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31 janvier... 22h20... ça veut dire qu'il reste à peine deux heures pour vous souhaiter la bonne année.
Je ne vous fais pas part de mes voeux, ils ont toujours été tous maudits, je ne veux pas vous portez malheur.. à vous aussi...
Et d'ailleurs que reste-t-il de tes voeux petit ange... Tu n'as pas eu le temps de les formuler, il n'a jamais voulu les entendre ce salaud. Oui, le temps ce salaud. Tu as perdu tes ailes ce 1er janvier.
Déception, oui, encore une. Mais la dernière je crois. Elle t'a épuisé.
Comment être déçue lorsqu'on attend plus rien de la vie?Ca faisait mal, oui, tu as toujours souffert, mais tant mieux. La douleur prouvait que tu existait encore... à tes yeux...
ils ne se rendent pas compte...Tu n'étais plus déçue. Non ce dimanche 1er janvier tu as su que tu ne sentirais plus. Petit ange tu as compris.
Trop d'attentes, trop de désirs, trop de rêves...
Lorsque la douleur a évincé le peu de bonheur restant des souvenirs, les déceptions du présent restent, pour toujours, mais ne se consumment pas.Cette tristesse te rongera, à jamais.
Désillusion.
LA désillusion.
De trop.Jour de bonheur, gaité des résolutions, fraîcheur d'un an tout neuf, apogée des souvenirs de l'année...
oh non!
Mais petit ange ce jour tu as ouvert les yeux. Tu aurais tellement dû les laisser clos...Tu étais croyante. Croyante en la vie, en ses principes, qu'elle même, divinité, t'avait enseigner. Mais ce jour là elle a éclaté de rire. Ce rire sinique et mauvais qui a fait de ton existence une larme petit ange.
Ne te réjouis plus du passé. Il n'est plus là pour toi.
Fin, oui, la fin.
Tu guidais le vent, maintenant tu le suivras. En attendant qu'il s'arrête.
Prépare toi à érer. Longtemps.Si seulement tu n'avais pas ouvert les yeux. Petit ange c'était ta dernière chance.
Alors reprenez le. Guidez le vent, le vent de votre vie. Avant qu'il ne soit trop tard. Bonne année à tous.
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Le petit ange a mal, oui....
La douleur sera toujours là petit ange... Au fond tu es morte.
Tu la sentiras toujours, elle sera toujours en toi, cachée, et elle vivra. Elle aussi. Elle grandira.Tu auras toujours mal petit ange...
Mais tu VIS. Encore un peu.
Tu n'as pas tout à fait fini.
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aRRêter... S'il vous plait finissez en
Qu'on détruise... Qu'on me détruise
Qu'il n'y est plus d'espoir, cela fait longtemps qu'il est partimourir pour ne plus penser, pour ne plus SAVOIR
cette chose qui te torture, qui est en toi
c'est la fin. Une belle époque, celle d'une vie. Un passage éclair, foudroyant
qui restera
souvenez vous de moi. De mon oeuvre, de mon rêve
COURANT D'AIR.... souvenez vous en
C'est la fin du petit ange. La fin de cette magie.
Nous avons existez, ensemble, nous avons crée.
Mais je ne vous suis plus. L'horizon s'estompe. Nous ne l'avons pas atteint.Nous avons perdu.
On en a passer, oui, des moments heureux... Le tex, le cramail, le sax, l'apart, le bungalow, la caravane... la forêt... la plage
paris, dax...MIMIZAN
Nous avons vécu, nous avons brûlé.
Nous avions des projets, nous avions des envies. Nous avions de la confiance et des rêves. Mais ceci n'est plus.La vie arrive à cette étape où, une dernière fois, il faut se retourner et avouer. Avouer qu'on était heureux. Et que nous sommes morts. Se remémorer pour essayer, malgré tout, d'éterniser nos sentiments, nos flammes et nos âmes.
J'ai voulu, oui, j'ai tenter de remonter. Mais il n'y a plus aucun moyen. Eternellement, je resterai. Je dois partir.
Je veux partir, je ne tiens plus. Je ne peux pas vivre en sachant que le rêve est épuisé. Nous l'avons détruit. Tous à notre façon.
On ne se retrouvera pas.
Le petit ange vous regarde maintenant, il ose. Il vous affronte, démons du passé.Pour la dernière fois.
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Apporte-moi mes cachets
Serre bien ma camisole
Accélère encore le son de ta voix
Ma techno-délire psychédélique
Apocalyptico-dramatiqueSirènes obsédantes
Métal hurlant plastique qui résonne
Aux arcades d'acier de l'oreille
Entartrée par ton ouïe déficiente
Des éclairs chopent tes yeux au hasard
Les lasers t'étranglent et t'enfoncent leurs dards
Cette nuie sucera ma sève
Moi, je m'en fiche je râveApporte-moi mes cachets
Serre bien ma camisole
Accélère encore le son de ta voix
Ma techno-délire psychédélique
Apocalyptico-dramatiqueC'est le grand rassemblement
C'est la fête ou la teuf des Grands
Aux yeux écarquillés
Aux pupilles dilatées
Et aux coeurs dressés
Par le batt'ment de coeur
Qu'elle te prend sans savoir
Ton pauvre coeur qui n'en peut plus
De ne plus pouvoir respirerEh! Toi p'tit con
Qu'est-ce que tu fais là?
Dis-moi p'tit con
Tu viens franchir le pas?
Mais t'ignores le parfum enivrant
Obsédant
Qui te couvre d'ivresse
Te transforme en détresse
Et peut faire de ta soirée
Comme une éternité à crierApporte-moi mes cachets
Serre bien ma camisole
Accélère encore le son de ta voix
Ma techno-délire psychédélique
Apocalyptico-dramatiqueMais au nom de la vie
De ces quelques-uns
Qui sont restés bloqués
Sur ton drôle de chemin
Au nom de mon ami malade
Qui hurle au fin fond d'son hôpitalApporte-moi mes cachets
Serre bien ma camisole
Accélère encore le son de ta voix
Ma techno-délire psychédélique
Apocalyptico-dramatiqueTryo, Apocalypticodramatique
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Embrasse-moi dessus bord
Viens mon ange retracer le ciel
J'irai crucifier ton corps
Pourrai-je dépunaiser tes ailes
Embrasser, te mordre en même temps
Enfoncer mes ongles dans ton dos brûlant
Te supplier de me revenir
Et tout faire ô tout pour te voir partirViens! Emmène-moi là-bas
Donne-moi la main que je ne la prenne pas
Ecorche mes ailes envole-moi
Et laisse toi tranquille à la fois
Mille fois entrelaçons-nous
Et lassons nous même en dessous
Serre-moi encore serre-moi
Jusqu'à étouffer de toiIl y a des salauds
Qui pillent le coeur des femmes
Et des femmes qui n'savent plus trop
D'où l'amour tire son charme
Papillon de fleur en fleur
D'amour en amour de coeur
Ceux qui n'ont qu'une étoile
Ou ceux qui brûlent leur voileJ'aime tes larmes quand tu aimes
Ta sueur, le sang rendons-nous amants
Qui se passionnent et qui se saignent
J'aime quand mon écorché est vivant
Je ne donne pas long feu
A nos tragédies à nos adieux
Reviens-moi reviens-moi
Tu partiras mieux comme çaA force de se tordre
On en finirait par se mordre
A quoi bon se reconstruire
Quand on est adepte du pire
Malgré nous malgré nous
A quoi bon se sentir plus grand que nous
Deux grains de folie dans le vent
Deux âmes brûlantes
Deux enfantsIl y a des salauds
Qui pillent le coeur des femmes
Et des femmes qui n'savent plus trop
D'où l'amour tire son charme
Papillon de fleur en fleur
D'amour en amour de coeur
Ceux qui n'ont qu'une étoile
Ou ceux qui brûlent leur voileEmbrasse-moi dessus bord
Viens mon ange retracer le ciel
J'irai crucifier ton corps
Pourrai-je dépunaiser tes ailes
Embrasser, te mordre en même temps
Enfoncer mes ongles dans ton dos brûlant
Te supplier de me revenir
Et tout faire ô pour te voir partirViens! Emmène-moi là-bas
Donne-moi la main que je ne la prenne pas
Ecorche mes ailes envole-moi
Et laisse-toi tranquille à la foisMille fois entrelaçons-nous
Et lassons-nous même en dessous
Serre-moi encore serre-moi
Jusqu'à étouffer de toiSerre-moi encore serre-moi
Jusqu'à étouffer de toiSerre-moi encore serre-moi
Tryo, Serre-moi
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